La fast fashion n’a plus la cote

Elle a beau travailler dans le milieu de la mode depuis des années, d’abord pour la maison de luxe au monogramme et maintenant pour «la semelle rouge», Joëline avoue avec conviction s’habiller à 90% en seconde main. «Depuis quelques années, j’ai totalement changé mon mode de consommation. J’adore les fripes et j’adore redonner vie à l’ancien. Pour moi c’est vraiment la solution.»
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