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Le courage d’une femme change le visage d’un ghetto

© iStockphoto
Emöke Both, responsable le l’ONG BAGàzs, brave la violence, le sexisme et le racisme pour la cause d’une minorité délaissée. Portrait.
Anlo Piquet

Profonde idéaliste, la Hongroise Emöke Both voulait être avocate. Sa soif de justice n’y trouvant pas son compte, elle se tourne vers la criminologie. Mais là encore, ses tâches s’avèrent trop intellectuelles, pas assez pratiques : elle a besoin de voir les gens, d’être sur le terrain. Elle rejoint alors le service pénitentiaire d’insertion et rend visite aux prisonniers et aux anciens détenus. Un jour, son secteur s’élargit et elle hérite de la «no-go-zone» tzigane de Bag : une zone de non-droit sans aucune infrastructure, délaissée par les mairies hongroises alentour. Quand Emöke Both y débarque en 2009, elle trouve plus d’anciens détenus que dans tout le reste de son secteur.

Dossier: Tziganes
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