Apprendre à dire « non »
Emilie a dû attendre d’avoir des enfants pour réellement apprendre à dire « non »: « J’ai le syndrome de la fille parfaite qui ne veut pas décevoir. Avec eux, j’ai été obligée de poser des priorités. J’ai dû apprendre à refuser et surtout à rester sur mes “non” ». Car souvent, la femme se voit jongler entre les demandes familiales, conjugales, professionnelles, sociales et religieuses au point de se sur-adapter, ne plus entendre ses propres besoins et ne plus savoir comment s’affirmer.
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