les familles touchées par l’autisme
Historique
«Depuis la naissance de notre fils Zacharie, atteint d’une forme classique d’autisme, mon mari et moi n’avions jamais pu assister ensemble à une confé- rence», se souvient Catherine Moreau, femme de pasteur en Mayenne (France). «On devait toujours s’occuper de lui à tour de rôle.»Lorsqu’en 2012 ils s’inscrivent pour un séjour orga- nisé par l’association Famille Je t’Aime (FJA), ils sont donc agréablement surpris de se voir propo- ser l’intervention d’un éducateur spécialisé qui se chargerait tous les matins de leur fils cadet. Résul- tat: le courant passe bien entre le jeune autiste et l’éducateur, permettant ainsi au couple de profi- ter de son séjour. L’initiative est reconduite avec succès en 2014, puis en 2016.
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