PRISCA : Pendant trois mois, mes heures de travail ont été réduites. Cette période «au ralenti» m’a permis de me rapprocher de Dieu, en passant plus de temps avec lui. J’écoutais souvent des chants de louange qui m’ont inspirée et fait du bien. Maintenant que la vie a repris son rythme, je regrette ce temps avec lui.

RITA : J’avoue que le calme relatif de cette période m’a réjouie. A la place de tant de voitures bruyantes, on pouvait entendre davantage les oiseaux ! J’étais aux anges. L’Apocalypse nous enseigne que nous allons vivre des choses très dures avant la fin du monde. Quand je regarde autour de moi, il me semble qu’on y est déjà

ESTHER : Je prenais plus de temps le matin avec le Seigneur, au calme, avant le réveil de la famille. J’ai décidé de changer mon attitude et de m’entraîner à la gratitude. Il faut reconnaître que nous sommes privilégiés par rapport à d’autres. Je cherchais d’autres moyens de rester en contact lorsque les mesures imposées tendaient plutôt à nous isoler. En somme, j’essayais de vivre dans l’esprit opposé.

CRISTINA : Pendant cette année, j’ai pris davantage conscience de ma dépendance de Jésus. Je me suis mieux organisée afin de passer du temps avec le Seigneur. Au début, c’était dur de me lever une demi-heure plus tôt tous les matins, mais qu’est-ce que ça me fait du bien ! Mon entourage remarque que j’ai changé et les occasions pour témoigner ne manquent pas.

SpirituElles

Article tiré du numéro SpirituElles 3-2021 Automne

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