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Un combat au-delà des genres

Tristane Banon déclarait: «Je suis celle que Dominique Strauss-Kahn a tenté de violer, et pourtant, je refuse la guerre des sexes et le statut de victime». Est-il possible aujourd’hui de lutter efficacement contre les violences conjugales sans en faire un combat identitaire et genré?
Nathalie Rochat

De manière fine et réfléchie, certaines autrices comme Tristane Banon et Elisabeth Badinter dénoncent aujourd’hui (notamment dans «Fausse route», éd. Odile Jacob) une dérive de la part des femmes vers l’héroïsation de la victimisation.

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Une femme vient de sortir de sa voiture. Elle est au téléphone d'une main et porte son bébé sur le bras.

«Fais plaisir et tais-toi!»

«Dépêche-toi, sois forte, fais plaisir!» Tout autant de messages contraignants (ce qu'on appelle les «drivers») auxquels nous nous astreignons sans le savoir. Clés pour casser le cercle vicieux.

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