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Une Iranienne contrainte à l’exil

© Alliance Presse
Elle est pasteure et enseigne les mathématiques. Sarah avait espéré rapidement rentrer dans son pays. Mais face au durcissement du régime, la vie en exil reste de mise. Retour sur un parcours
Claire Bernole

Celle qui se fait appeler Sarah est jeune, belle, et semble si détendue, si simple – en un mot si «normale» – qu’on peine à imaginer ce qu’elle a vécu. «Mes deux parents sont pasteurs en Iran, et bien que notre Eglise ait été fermée sur ordre du gouvernement (en 2009), ils continuent à exercer leur travail.»
C’est en 2005, lorsque Mahmoud Ahmadinejad arrive au pouvoir, que la pression augmente d’un cran: il a fallu commencer à donner les noms, les numéros d’identité et la copie du passeport de toute personne venant à l’Eglise. Pasteurs et responsables sont alors emprisonnés et forcés à donner des informations.

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