Je suis passée à deux doigts de la mort!

«Problème, viens». Angélique peine à prononcer ces mots au téléphone. Sa mère, Agnès, sent l’urgence et la rejoint immédiatement. A la vue de sa fille, à la fois frissonnante et transpirante, elle appelle les secours. Arrivé sur les lieux, l’ambulancier qui voit les yeux révulsés et le corps crispé d’Angélique appelle immédiatement l’hélicoptère (REGA). Le pronostic vital de la jeune femme est engagé. Elle n’a que 37 ans.
Ce 8 juillet dernier, rien n’avait pourtant laissé présager ces événements. C’est en se coiffant le soir qu’Angélique sent soudain une douleur atroce: «Ça m’a frappé dans le haut de la nuque, comme un coup de barre de fer. En deux secondes, toute ma boîte crânienne a été prise dans un tsunami de douleur intense. Je ne voyais plus rien du tout.» Un premier miracle: elle reste consciente assez longtemps pour appeler sa mère.
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