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En Afghanistan, au secours des enfants des rues.

C’est au cours d’un saut en parachute que Jacques Hiriart fait chavirer le cœur d’Ariane. Et ce ne fut que le premier grand saut dans la vie des fondateurs de l’ONG Le Pélican en Afghanistan. Parcours.

Lorsque la leucémie emporte leur fils unique âgé de 10 ans, Jacques et Ariane quittent la France et une boulangerie prospère pour travailler pour une ONG. D’abord en Albanie au moment de la crise du Kosovo, puis en Afghanistan où ils arrivent en février 2000, sous le règne des Talibans C’est alors qu’ils sont touchés par les besoins des enfants dans la rue.

Création d’une ONG

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Après le 11 septembre, de retour en France, ils mettent sur pied une nouvelle ONG. En 2002 Le Pélican nait à Kaboul. Le couple s’investit dans les vies des enfants et des jeunes dans l’un des quartiers des plus pauvres de Kaboul. Une boulangerie professionnelle permet de les former à la fabrication du pain français. Les enfants et les jeunes femmes sont accueillis dans les classes de l’école. L’œuvre reçoit un coup dur en 2013 lorsque Jacques décède d’un cancer. Après quelques mois, Ariane retourne à Kaboul pour poursuivre seule le projet qu’elle a commencé avec son époux.

Relever le défi

Une femme sans mari n’est plus rien en terre afghane. Ensuite, devenir la directrice des écoles et du projet et avoir l’autorité nécessaire n’a pas été de tout repos. «J’ai dû réellement prouver au staff afghan que j’en étais capable, les encourager à avoir confiance en l’avenir et en moi. Ils pensaient tous que je ne reviendrais jamais et que l’ONG serait fermée.»

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