Christine Volet-Sterckx a perdu son garçon lorsqu’il avait 13 mois. Un accident. Ariel s’est étouffé avec une petite pièce de jeux. «J’ai mis très longtemps à reconnaître l’impact que son décès a eu sur ma vie. Ce n’est que lorsque j’ai pris conscience que j’avais développé des fragilités liées au traumatisme que j’ai revisité la mort d’Ariel en lui racontant par écrit, l’histoire de sa dernière journée. Je m’accusais d’homicide involontaire, sentiment que tout parent peut éprouver: j’aurais pu éviter de faire ceci, j’aurais pu le sauver… Mais de telles chosent arrivent et on ne peut rien y faire.»