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Femmes migrantes et foi: une amitié improbable

Dans un contexte européen toujours plus multiculturel, nous sommes toutes en contact, de près ou de loin, avec des femmes venant d’ailleurs. Mais comment partager le message de la Bible avec elles? Comment trouver des points communs permettant d’entrer en contact et de tisser des liens? Témoignage.

Katia Maibach, mère de quatre enfants, est assistante familiale (maman de jour). Elle habite avec sa famille dans un quartier multiculturel dans le canton de Fribourg. Lors d’un événement qui a eu lieu dans sa ville, elle a participé à une formation sur «Comment lire la Bible avec une personne qui s’intéresse à la foi». Dans ce cadre, comme exercice pratique, elle devait trouver une personne disposée à lire la Bible avec elle. «Lorsque je priais pour savoir qui inviter à ces moments de lecture, j’ai eu sur le cœur une maman portugaise que je voyais de temps en temps lorsque j’allais chercher mon fils à l’école. Je la trouvais bizarre. Elle avait toujours le visage fermé et ne me saluait jamais. Entrer en contact avec elle me semblait impossible. Je n’allais tout de même pas sonner à sa porte pour lui demander de lire la Bible avec moi!», se souvient Katia.

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Une femme vient de sortir de sa voiture. Elle est au téléphone d'une main et porte son bébé sur le bras.

«Fais plaisir et tais-toi!»

«Dépêche-toi, sois forte, fais plaisir!» Tout autant de messages contraignants (ce qu'on appelle les «drivers») auxquels nous nous astreignons sans le savoir. Clés pour casser le cercle vicieux.

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